• La législation religieuse de Constantin

     

     

    En 312, l’empereur Constantin se convertit au christianisme. Cet événement est d’autant plus surprenant que le christianisme sortait à peine de la plus dure persécution de son histoire au sein de l’Empire romain.

    Toutefois, cette conversion a par la suite suscité beaucoup de fantasmes et de légendes. On confond souvent la conversion personnelle de Constantin et l’imposition du christianisme comme religion d’Etat. Par ailleurs, on attribue aussi à Constantin toutes sortes de modifications bien éloignées de la réalité (invention de la Trinité, hiérarchisation de l’Eglise, etc.)

    Dans cet article, je vous propose donc de faire un point sur les lois réellement promulguées par Constantin concernant les questions religieuses.

     

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  • La parachah Hayyey Sarah

    "extrait de la Bonne Nouvelle du Royaume"

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    Cette semaine nous étudions la parachah Hayyey Sarah  commentaire de 2011

    Pensée :

    “Le champ d’Éphron, qui était à Makhpélah, qui est face à Mamré, le champ et la grotte qui y est, et tous les arbres qui étaient dans le champ, qui est dans toutes ses limites à l’entour, furent assurés en acquisition à Abraham, aux yeux des fils de Heth, devant tous ceux qui venaient à la porte de la ville. Après cela, Avraham ensevelit Sarah, sa femme, dans la grotte du champ de Makhpélah, en face de Mamré, qui est Hévron, dans le pays de Kénaan.” (Ge 23:17-19)

    Avraham achète une propriété sépulcrale. IL l’achète à Éphron … dont le nom vient de « aphra », ce qui signifie : poussière. Ce nom est symbole de mort.  La grotte se situe dans un champ planté d’arbres, encore un symbole. Le serpent qui intervint en Éden ne s’était-il pas accaparé par ruse du devenir humain et de la terre… Le Seigneur le condamnait alors à se nourrir de la « poussière » de la terre…. YHVH dit de l’homme : il est poussière et il retournera à la poussière… Avraham rachète le champ et les arbres de celui qui est poussière, nourriture du serpent. Il ensevelit Sarah dans la grotte, dans le jardin. Dans l’absolu du symbole, cette poussière là, le serpent ne pourra pas s’en nourrir ! Telle fut la première possession d’Avraham, le père de la foi, en terre promise… la reconquête de la création était engagée.

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  • Un article intéressant à prendre connaissance, en ces moments d'élections en France.

    Une réponse à Laurent Joffrin de Libération et à sa Une « Primaire, au secours, Jésus revient »

     

    Laurent Joffrin directeur de la rédaction et de la publication du quotidien Libération titrait à la une de son Journal « Primaire, au secours, Jésus revient ». Le journaliste décrit ainsi son effroi que l’on puisse partager sur la place publique les convictions qui habitent un candidat aux élections organisées dans le cadre de la primaire de la droite.

    Cette prise de position d’un grand média Français montre une nouvelle fois, une menace inquiétante qui pèse aujourd’hui sur les esprits en France : une forme de laïcité autoritaire et sectaire qui gagne l’ensemble de l’espace public et, par capillarité, entend s’imposer à toutes les couches de la société. La crainte d’un retour du religieux (ici, en l’occurrence, du retour des valeurs judéo-chrétiennes dont on omet cependant de préciser qu’elles ont façonné notre Occident, à tel point que même notre devise républicaine – liberté, égalité, fraternité – en est un héritage direct) est alors présentée comme une sorte d’épouvantail, comme si la laïcité était synonyme de « neutralisation des religions ». Rappelons que dans son idéal, la laïcité est l’héritage direct du christianisme (n’est-ce pas Jésus qui a le premier distingué « ce qui est à César et ce qui est à Dieu ». N’est-ce pas le protestant puritain Williams qui, le premier a tenté une séparation de l’Eglise et de l’Etat sur Rhode-Island?), la laïcité n’a jamais cherché qu’à rendre possible la coexistence pacifique des religions tout en préservant la liberté de conscience de chacun (et la liberté d’exprimer publiquement ses convictions dans le respect des convictions d’autrui fait partie intégrante de cette liberté de conscience garantie par la saine et authentique laïcité).

    Pour lire la suite cliquer sur le lien suivant:

    https://www.infochretienne.com/une-reponse-a-laurent-joffrin-de-liberation-et-a-sa-une-primaire-au-secours-jesus-revient/

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  • Le disciple : portrait du vrai chrétien

    par Samuel et Dorothée Hatzakortzian

    L’adversaire de Dieu ne veut pas que l’homme comprenne le simple message de l’Evangile. Son plan est de séduire le monde. S’il peut aveugler la foule sur le véritable sens du salut ou la convaincre que ce qu’elle croit est bien l’Evangile, alors qu’il n’en est rien, son stratagème aura réussi.

    Il est donc urgent de préciser, selon la Parole immuable de Dieu, ce qu’est un vrai chrétien, en opposition à cette nouvelle définition falsifiée du chrétien adoptée par de nombreux milieux évangéliques postmodernes comme nous venons de l’examiner dans le précédent chapitre.

     

    Selon les Evangiles et l’enseignement de Jésus-Christ, seul le qualificatif de disciple peut définir ce qu’est un chrétien biblique et authentique. Pour Jésus, uniquement le disciple a les qualifications du véritable chrétien. Rien, absolument rien ne doit donc nous faire dévier de cette définition, et par conséquent de l’objectif qui nous est imposé par notre Maître.

    Le disciple : portrait du vrai chrétien

     

    En effet, l’ordre de Jésus à la fin de l’Evangile de Matthieu est clair et direct : « Allez donc, faites des disciples dans toutes les nations… » (Mt 28:19). Toute la construction de cette phrase dans le texte original est concentrée non sur une option, mais sur un ordre : celui de faire des disciples. Pour Jésus la priorité était la qualité et non la quantité. 

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  • La parachah Vayyera 

    "extrait de la Bonne Nouvelle du Royaume"

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    Cette semaine nous étudions la parachah Vayyera  commentaire de 2010-14

    Pensée :

    “Et il arriva, après ces choses, qu’Élohim éprouva Avraham, et lui dit, Avraham ! Et il dit, Me voici. Et Élohim dit, Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Yitshaq, et va–t’en au pays de Moryah, et là offre–le en holocauste, sur une des montagnes que je te dirai.” (Ge 22:1-2)

    Avraham avait tout quitté pour s’abandonner à cet Élohim à qui il voulait faire confiance. Mais voici qu’Élohim éprouva Avraham, de façon peu banale ! Avraham qui avait tout donné devait encore donner ce qu’il avait reçu par promesse : son fils unique, Yitshaq ! Épreuve extrême pour cet homme qui avait déjà reçu de Mélkiy-Tsédeq une transmission de sacerdoce… Cela ne suffisait-il pas pour assurer le dessein ? A priori non. Avraham devait rencontrer son Élohim sur le chemin du « fils unique » pour partager le sentiment ultime de la miséricorde et de la justice.

    “au terme de laquelle nous devons parvenir, tous ensemble, à ne faire plus qu’un dans la foi et la connaissance du Fils d’Élohim, et à constituer cet homme parfait, dans la force de l’âge, qui réalise la plénitude du Messie.” (Eph 4:13 )

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  • Réflexions sur les fêtes de l'Eternel par Luc Henrist

     

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