• « L'Etat d'Israël » est-il « l'Israël de Elohim » ? (2/2) JY HAMON

    « L'Etat d'Israël » est-il « l'Israël de Elohim » ? (2/2)

    L’article qui suit se comprend à partir du titre même : c'est-à-dire, l’état d’Israël peut-il être vu comme répondant à l’appel de son Élohim ou est-il à considérer comme une nation comme les autres, dans le concert des autres nations, sa logique s’inscrivant toutefois dans l’imposition prophétique qui reste une volonté d’Élohim. Y a-t-il donc une nuance entre « état d’Israël » et « Royaume d’Israël », le premier n’étant que le creuset temporel et national du devenir du second ?

    Et Samuel dit au peuple, Ne craignez pas. Vous avez fait tout ce mal, seulement ne vous détournez pas de YHWH, et servez YHWH de tout votre cœur ; et ne vous détournez point, car ce serait vous en aller après des choses de néant, qui ne profitent pas et ne délivrent pas, car ce sont des choses de néant. Car YHWH, à cause de son grand nom, n’abandonnera point son peuple, parce que YHWH s’est plu à faire de vous son peuple. Quant à moi aussi, loin de moi que je pèche contre YHWH, que je cesse de prier pour vous ; mais je vous enseignerai le bon et le droit chemin. Seulement, craignez YHWH, et servez–le en vérité, de tout votre cœur ; car voyez quelles grandes choses il a faites pour vous. Mais si vous vous adonnez au mal, vous périrez, vous et votre roi. (1Sa 12:20-25 )

     

    « L'Etat d'Israël » est-il « l'Israël de Elohim » ? (2ème partie-version finale)



    Nous avions conclu une première partie en posant la question de savoir si « l'Israël » actuel pouvait être considéré comme bâti « selon l'idéal des prophètes » et donc selon la formule célèbre de Ben Gourion. Les questions annexes concernaient la part du spirituel/prophétique et la part de l'humain dans ce partage des terres de l'ancien territoire sous mandat britannique.

     Nous avions en fait déjà des éléments de réponses dans la nécessaire distinction entre « Juda » et le « tout Israël » des 12 tribus intégrant les « étrangers qui s'y attachent ».


    A ce jour, la nation de l'Israël moderne se réclame de sa spécificité "juive", c'est à dire sémantiquement et uniquement du Royaume du sud: Juda.
    Dès 1948, si les décideurs avaient opté pour le purisme, le nouvel Etat n'aurait pas été titré "Israël" mais "Judée" (Judah), comme il en fut dès le schisme vers -900, puis au retour de l'exil babylonien et jusqu'à l'empire romain (135). L'identité admise en 1948 que nous ne réfutons pas au regard de l'Histoire, est cependant une source de confusions pour beaucoup.
    Néanmoins et au-delà de l'ambiguïté nous en saisissons la vision prophétique.

    Or, en matière de « confusion », nous ne pouvons pas passer davantage sous silence une autre grande confusion historiquement et spirituellement dramatique qui est celle de l'Eglise catholique romaine et la théologie de la substitution, c'est à dire l'appropriation du rôle et de toute la place de « Israël » sous prétexte que « les juifs » auraient failli.
    Cela pourrait sembler étrange mais dès que « l'humain » veut faire selon son imagination et sa volonté, il est certain de marcher contre les Ecritures (et donc contre Elohim) en répétant malheureusement les mêmes erreurs, quelle que soit son étiquette religieuse ou sa philosophie « d'homme ».


    L'humain
     contre le prophétique spirituel.


    Lorsque « l'Etat du Vatican » a reconnu « l'Etat d'Israël » en 1993 puis plus pragmatiquement en 1997, les confusions se sont amplifiées. Immédiatement et très logiquement, beaucoup se réjouirent alors de dénombrer sur l'échiquier religieux des « chrétiens amis d'Israël »... Ceci fut le préalable, évidemment, à de nouvelles réunions « au sommet » sur le plan politique pour essayer de gérer l'impossible « paix » entre juifs et musulmans et plus précisément entre « juifs et palestiniens »... puisque le politique "bien inspiré" a également réinventé une Palestine comme au bon vieux temps de l'Empire romain (pas encore Papal), là où Yéshoua marchait.

    Les romains impériaux avaient leur Judée appelée plus tard par Hadrien (135) et par dérision, Palestine, et AElia Capitolina pour tenter, vainement, d'effacer le nom de Jérusalem, les romains papistes auront leur « terre sainte », les sionistes politiques ont leur « Eretz Israël » mais avec capitale par défaut Tel-Aviv (nom d'une localité babylonienne, voir Ezéchiel 3:15; nom hébreu signifiant "colline du printemps", qui signifierait de l'akkadien Til-abubi « colline du déluge » )


    Mais voyons plus précisément, bien que sommairement, comment est apparu ce « nouvel Israël ».


    Un Etat « sioniste » 

    Le « mouvement sioniste » fondé à Bâle en août 1897 avait pour objectif principal la formation en Palestine d'un foyer national pour les juifs du monde, organisant par là-même le retour des exilés marranes d'Espagne, du Portugal, les séfarades d'Iran, Irak, Yemen, Inde, Egypte, Empire Ottoman, Maghreb..., les ashkénazes d'Allemagne, Autriche, Ukraine, Russie, Pologne, Roumanie. Les falashas d'Ethiopie y seront invités plus tard.
    Rappelons qu'à ce titre, il aurait fallu parler plutôt "d'Etat de Juda".

    Si le mouvement qualifié par quelques politiques de « sioniste » (sans rapport avec la véritable « Sion » des Ecritures) a orchestré le retour des juifs exilés -ce qui garde toute son importance pratique- nous n'ignorons pas que la plupart de ses promoteurs, financiers et facilitateurs étaient d'origine maçonnique. Nous devons noter ce point et l'affecter au contexte du projet « humain » de la même façon que les dramatiques Croisades furent d'initiative pagano-catholique.
    Que viennent faire les "frères maçons" dans cette histoire du retour à Sion ?
    C'est tès simple: ils sont partout, et s'ils ne sont pas à l'origine des projets, et que les projets sont susceptibles d'être porteurs "de l'Histoire" dont il faut être les maîtres, alors ils s'en emparent...
    Toutefois, le Seigneur peut obliger Ses ennemis à Le servir malgré eux-mêmes... Ainsi, de nombreuses acquisitions de terrains, de constructions, d'infrastructures, etc, furent permises par un ensemble de fondations humaines, et livrées au mécénat d'hommes célèbres. 


    Un « Etat laïc », question de fond 

    Le « sionisme humain » avait un autre objectif important: la « laïcité ». Le mouvement fondé par Théodore Herzl affichait même un certain mépris à l'égard de la Torah et des rabbins de l'ancien Yishouv, lesquels affirmaient que la fidélité à la religion originelle basée sur la Torah et les Inspirés serait l'unique salut face à l'antisémitisme.

    Les pères fondateurs de « l'Etat moderne d'Israël » rêvaient ainsi d'un Etat laïc calqué sur le modèle des nations modernes, là où la diaspora juive avait longtemps séjourné. On observe d'ailleurs que cet « Etat » né sur la base d'une résolution de l'ONU a adopté très largement le modèle démocratique  
    « à l'occidentale » en s'y aliénant de façon croissante: la tendance qui définit l'Etat se fondant davantage sur la propriété du sol et le service national que "l'idéal des prophètes".

    Depuis sa création, l'Etat moderne d'Israël a été résolument soutenu par les USA, porte flambeau de la « civilisation occidentale ». Ce discours de Richard Nixon, ex-Président des USA pourrait le démontrer:
    « L’engagement des Etats-Unis pour la sécurité et l’avenir d’Israël est fondé sur notre conception morale aussi bien que sur notre propre intérêt »

    De même que ces propos de Jimmy Carter, autre ex-Président des USA:
    « Les Etats-Unis ont avec Israël une relation unique et moralement juste. Elle est compatible avec nos convictions religieuses profondes, et elle est juste en termes d’intérêts stratégiques des Etats-Unis."

    « L'Etat d'Israël » est-il « l'Israël de Elohim » ? (2ème partie-version finale)

                                   Au centre: "In God we trust"
              A gauche: la fameuse "pyramide" et son "nouvel ordre mondial"
    A droite: 13 étoiles (en hexagramme), 13 flèches et 13 branches de lauriers    dans les serres de l’aigle. La citation latine  »E pluribus unum » marque  clairement le but final de l’organisation, à savoir la fusion des états du                                           monde en un seul État


    De quelles « convictions religieuses » parle Jimmy Carter ? Si l'on s'en réfère au « God » qui figure sur le billet vert de « One dollar », on se doute bien que cela ne peut pas être l'Elohim du « véritable Israël ».

    On pourrait ajouter une déclaration du ministre « israëlien » du tourisme en Juin 2010:
    « Fini l’exclusivité du message "Terre sainte et Jérusalem",  disait-il, il y aurait désormais d’autres titres censés attirer de nouveaux publics de touristes: tourisme du vin, tourisme sportif, et également le tourisme gay ! »

    « L'idéal des prophètes » cher à Ben Gourion ressemble ainsi étrangement aux « convictions religieuses profondes » des USA et du « monde », mais «  le monde entier n'est-il pas sous la puissance du malin » (1 Jean 5:19).
    (On pourrait noter ici qu'aux dernières élections de la Knesset (2015), le parti du "Judaïsme unifié de la Torah" n'a obtenu que 6 sièges sur 120).

    Le «sceptre» et la royauté promise àJuda serait-elle tombée dans les mains d'un « autre Israël » ?
    Et « Efraïm » que YHWH avait appelé le « rempart de ma tête » (Psaume 60:7 par exemple) serait-il devenu une autre « nation terrestre » ?

    Nous l'avions mentionné dans notre première conclusion: « l'Etat d'Israël » existe et même si nous savons que Elohim « a mis dans leur coeur d'exécuter Son propre dessein » (Apoc 17:17), la question du « pour ou contre » demeure et demande plus d'éclairage.


    Pour
     et/ou contre


    Après 1948, une partie de la "chrétienté" interprétait un peu hâtivement un verset d'Esaïe qui n'a sans doute pas été bien compris:


    « Qui a jamais entendu pareille chose ? Qui a jamais vu rien de semblable ? Un pays peut-il naître en un jour ? Une nation est-elle enfantée d’un seul coup ? A peine en travail, Sion a enfanté ses fils » (Esaîe 66:8)


    Il conviendrait donc de s'interroger sérieusement sur cet « enfantement des fils de Sion » sachant que c'est la « première résurrection » qui ajoute des « frères » au « premier-né », Celui des « prémices » ! En somme, à quel pays, à quelle nation fait référence le texte d'Esaïe 66:8 cité ci-dessus ?

    Compte tenu de ce qui est dit sur « Jérusalem » dans la suite de ce chapitre 66, nous avons aussi quelques difficultés d'y reconnaître la Jérusalem actuelle ! Par ailleurs, ce n'est pas encore maintenant que l'on peut constater et valider le texte suivant:

    « Ils amèneront tous vos frères du milieu de toutes les nations, En offrande à YHWH, Sur des chevaux, des chars et des litières, Sur des mulets et des dromadaires, A ma montagne sainte, A Jérusalem, dit YHWH, Comme les enfants d’Israël apportent leur offrande, Dans un vase pur, A la maison de YHWH » (Es 66:20).

    Les « humains » ont besoin de repères concrets mais bien souvent leurs interprétations ne s'accordent pas avec la réalité. C'est ainsi qu'ils ont fait commencer un calendrier à la naissance d'un « petit Jésus » au lieu d'ouvrir le calendrier des « années de grâce » lorsque Yéshoua l'a déclaré, ou pourquoi pas lorsque Son Elohim et Père a déclaré: « Tu es mon Fils, Je t’ai engendré aujourd’hui » (Ps 2:7)
    Ajout et rappel de ma première version: ... et c'était « en Le ressuscitant » (Actes 13:33). Le « nouvel Adam », « l'homme nouveau » est donc "né" environ 33 ans plus tard.
    Voir: http://jyhamon.eklablog.com/pour-naitre-de-nouveau-il-faut-mourir-a108383178 

    Soyons attentifs aux événements, aux textes, et ne les interprétons pas dans un sens ou un autre parce que cela nous plaît, mais lisons correctement l'écrit et constatons si oui ou non l'événement lui correspond pleinement.


    Figuier ou olivier ? 


    Ces deux arbres symbolisent chacun des caractéristiques d'Israël bien distinctes. Le figuier est à la nation ce que l'olivier est à la spiritualité.

    Ce qui est apparu en 1948 ressemble beaucoup plus au « figuier » qui refleurit et donc à l'annonce que « le Fils de l’homme est proche, à la porte » (Mat 24:33). On ne peut pas confondre un figuier avec un olivier et encore moins avec les « deux oliviers » et « deux témoins » (Zach 4:11-14; Apoc 11:4).

    De même, s'il fallait être « pour ou contre », on ne peut pas être « contre des prophéties » mais on peut contester « une fausse interprétation des prophéties ».

    Le même problème réside avec « JE les ramènerai » si souvent cité en Jérémie, Ezéchiel et Zacharie.
    Un seul exemple: 

    « Et tu leur diras: Ainsi parle Adonaï, YHWH : Voici, je prendrai les enfants d’Israël du milieu des nations où ils sont allés, je les rassemblerai de toutes parts, et je les ramènerai dans leur pays. »

    … mais il s'agit bien ici de « l'Israël de Elohim » et donc de « tout Israël » tel que nous l'avons défini dans la première partie, c'est à dire pas seulement de « Juda ».

    Existe-t-il une « alya terrestre » et par « volonté d'homme » qui serait sans correspondance avec le désir de Elohim qui est de « ramener » bien au-delà du seul périmètre contraint d'une seule tribu (Judah) ?

    Incontestablement, le « retour » des juifs ou Yehoudiym de la tribu de Juda fait partie du processus mais n'est pas « tout le processus », ne serait-ce qu'à cause de Apoc 17:17 où, comme d'autres, ils donnent « leur royauté à la Bête », mais en tenant compte de l'épisode de Zacharie 12:10

    « Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem Un esprit de grâce et de supplication, Et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, Ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né. »

    Ici, il est important de ne pas confondre les événements de Zacharie 12 et ceux de Zacharie 14...

     

    Alors, pour ou contre ? 

    En attendant le grand « final », quelle position adopter en matière de « pour ou contre » sachant qu'on ne peut être « contre les prophéties ».
    D'ailleurs, pourrait-on être "pour ou contre" la venue de l'anti-Mashiah (puis du Mashiah) alors que tout cela est inéluctable ?!

    Commençons par un rappel important que Yéshoua a Lui-même imposé à Képhas (Pierre) au moment de Son arrestation:

    « Remets ton épée à sa place ; car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée. » (Mat 26:52)

    Loin donc des pulsions nationalistes zélotes et autres résistants, légitimes en termes humains, pressés d'en découdre avec l'occupant romain !

    Ceci est une règle impérative pour ceux qui se disent « disciples de Yéshoua » et il ne leur est pas demandé d'aller s'engager dans l'armée de Tsahal, ni aucune autre, pour accélérer la venue du Royaume... surtout si on le confond avec un royaume terrestre actuel ou avec le règne de l'anti-Mashiah à venir.

    Toutefois, ce qui doit arriver doit arriver et l'on peut comprendre que des Yehoudiym (juifs) qui n'ont pas reconnu Yéshoua interprètent encore le « Tu ne tueras pas » du 5ème Commandement comme « tu n'assassineras pas » en appliquant le « droit de légitime défense » propre à toutes les nations de ce monde, la France ne faisant pas exception.

    C'est la même pulsion pour des alliés politiques éventuels qui, engagés dans le bal mondial de la géostratégie des guerres et autres folies ne seraient motivés que par des « convictions religieuses profondes ». Il en est de même pour tous les ennemis d'Israël, dont la coalition islamique.

    Ceci étant convenu, nous avons à nous défier et sortir de la « confusion » entretenue par les politiques et les religieux et ne pas se soumettre aux définitions que l'on voudrait nous imposer en matière de:

    - « sionisme » qui est devenu un terme de relation politique alors que l'origine du mot "Sion", la « Montagne sainte » n'est pas un « mouvement politique »,

    - « antisémitisme » : qui peut s'appliquer en termes de haine vis à vis de l'ethnie ou de la religion juive mais qui ne peut s'appliquer comme qualificatif de simple opposition à la politique israëlienne.

    - « judaïsme » : terme qui englobe trop de nuances juives, qui ne peut donc pas s'appliquer à tous les juifs car "tous ceux qui se disent juifs mais ne le sont pas".

    et évidemment:

    - « israëlisme » : qui ne désigne pas les seuls "juifs de Juda" puisque nous savons qu'Israël est constitué des "deux Maisons" et qu'un "israëlite" n'est pas systématiquement "juif".

    D'autres mots trop souvent utilisés avec leur définition erronée devraient faire l'objet de précaution d'emploi, mais ceci est encore une arme de confusion que l'adversaire favorise.

    Certes, il y aura un « vainqueur » mais c'est Celui qui est annoncé et qui doit revenir « avec Ses élus » contre tous ceux « d'en bas »:

    « Ils combattront contre l’agneau, et l’agneau les vaincra, parce qu’il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi » (Apoc 17:14)... et « Il paîtra les nations avec une verge de fer » (Apoc 12:5 et 19:15)

    Allelu Yah et AMEN !

    En attendant, comme tout le monde n'a pas vocation à mourir sur un champ de bataille, ou à en être dispensé par un "enlèvement secret", il nous est demandé de « veiller et prier » parce que nous ne connaissons « ni le jour ni l'heure ».

    Prions selon la vision de Zacharie 12, afin que le souffle parvienne rapidement sur les habitants de Jérusalem, ainsi ils reconnaîtront le Messie d'Elohim, Celui qui fut percé, et Juda engagera une oeuvre de purification. Alors seulement paraîtra le véritable Israël, l'olivier qui sublimera le figuier.

    Si l'Israël de Juda - l'Etat hébreu moderne - dont la réalité politique a été adoptée par 33 votes positifs à l'ONU est une base prophétiquement engageante, nous ne saurions nous contenter de cette esquisse humaine, aujourd'hui bien éloignée de l'idéal des prophètes.
    Nous attendons donc avec impatience et amour envers notre frère aîné, ce jour béni où notre Adon Yéshoua réunira Lui-même toutes ses brebis... celles qui Le connaissent déjà, celles perdues, celles déjà présentes autour de Jérusalem, et toutes celles appelées à suivre l'Agneau partout où Il va, ici ou là-bas.


    J.Y.H.

    NdlR : parler et critiquer l’Etat d’Israël est un exercice délicat. Certains pourraient hâtivement ressentir cette critique comme de l’antijudaïsme ou antisionisme primaire, réflexe au demeurant plutôt classique chez un chrétien des nations, nourri au Verus Israël depuis deux millénaires. Un des objectifs de cet article en 2 parties (voir Jérusalem N°592 pour relire la 1ère partie ou ici: http://jyhamon.eklablog.com/l-etat-d-israel-est-il-l-israel-de-elohim-1ere-partie-nouvelle-version-a117302204), était de faire réfléchir le lecteur à cette notion d’Israël, pour éviter de suivre des routes sur lesquelles nous ne sommes pas appelées. Nos prières restent tournées vers Jérusalem et sur l’Israël de notre Elohim, sur lequel nous voulons être greffés par la Grâce de Son Fils, Yéshoua.



    Article connexe: http://jyhamon.eklablog.com/ephraim-et-juda-le-rassemblement-des-douze-tribus-a96603181



    JYH
    1/09/2015
    Avec l'équipe du bulletin "Jérusalem"
    (La bonne nouvelle du Royaume - Edition Patmos)
    (Copie autorisée et même souhaitable, à condition d'en redonner le texte intégral et les sources)

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  • Commentaires

    1
    DANIT
    Samedi 21 Mars 2020 à 14:39

    Ceci étant, pour ceux qui prétendent être aux côtés d'Israël, c'est peut-être pas le moment de ressortir cette réflexion, si intéressante soit-elle ! 

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