• Les Fêtes de l'Eternel par Henri Viaud-Murat

    Les Fêtes de l’Eternel.

    Article de Henri Viaud-Murat.(site Parole de Vie.) 

    Le chapitre 23 du Livre du Lévitique présente l’ensemble des sept Fêtes solennelles que devait observer le peuple d’Israël, selon l’ordre donné par l’Eternel à Moïse. Chaque Fête représente un signe prophétique concernant la vie et le ministère du Seigneur Jésus-Christ. Ces signes s’appliquent par conséquent aussi à l’Eglise, Corps de Christ.

     

    Les Fêtes de l'Eternel Henri Viaud-Murat

     

    Tout le plan de Dieu pour l’humanité est, d’une manière extraordinaire, révélé par la nature et le calendrier exact des sept Fêtes de l’Eternel que devait observer Israël. C’est toute la destinée de l’espèce humaine qui se déroule entre la première et la septième Fête.

    Le calendrier de Dieu est basé sur les phases de la lune. Chaque mois Juif commence donc immédiatement après une nouvelle lune.

     

    Voici la liste de ces Fêtes et leur date :

    1. La Fête de la Pâque : le 14 du mois de Nisan. Première pleine lune de printemps.

    2. La Fête des Pains sans Levain : du 15 au 22 du mois de Nisan.

    3. La Fête des Prémices : le premier jour de la semaine qui suit le sabbat de la Pâque du mois de Nisan. Cela pouvait être le 16 du mois, si le 15 était un shabbat. Sinon, il fallait attendre le premier jour de la semaine qui suivait le premier shabbat de la Pâque.

    4. La Fête de Pentecôte : le 6 du mois de Sivan.

    5. La Fête des Trompettes : le premier du mois de Tishri.

    6. La Fête des Expiations : le 10 du mois de Tishri.

    7. La Fête des Tabernacles : le 15 du mois de Tishri.

     

    Les Fêtes du Printemps :

    1. Pessah (Fête de la Pâque – Lévitique 23 : 5). L’année religieuse Juive commence ce jour-là. (Rectification: l'année religieuse ne commence pas avec la Pâque, mais bien 14 jours avant, avec la nouvelle lune qui suit l'équinoxe du printemps).Ce jour commémore le sacrifice de l’agneau, au pays d’Egypte, qui a marqué la délivrance finale du peuple d’Israël. Le sang de l’agneau a été appliqué sur les montants et le linteau des portes de chaque maison. L’ange destructeur, voyant le sang, passait au-dessus de la maison, sans frapper ses occupants.

     

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    Signification spirituelle pour l’Eglise : Cette fête représente la mise à mort du Seigneur Jésus, le jour même de la Pâque. L’Agneau de Dieu nous a rachetés de la servitude du péché, de la chair, du monde et du diable. Notre "maison" (notre corps) est marquée du sang de l’Agneau, ce précieux sang qui nous a rachetés.

    L’année de la mort du Seigneur, le jour de la Pâque (14e jour du mois de Nisan) devait être un mercredi, pour permettre au Seigneur de rester dans la tombe trois jours et trois nuits. Le "Vendredi saint" du Catholicisme est une tradition sans fondement biblique ni historique.

    La Pâque représente donc aussi notre mort en Jésus-Christ.

     

    2. Chag HaMotzi (Fête des Pains sans Levain – Lévitique 23 : 6). Cette Fête s’observait dès le lendemain de la Pâque, le quinzième jour du mois de Nisan, et durait sept jours, du 15 au 21 du mois de Nisan. Le quinzième jour de Nisan, c’est-à-dire le premier jour de la Fête, était chômé. Pendant cette Fête, les Israélites devaient manger du pain sans levain. Le levain représente le péché. Le fait de manger pendant sept jours des pains sans levain représentait la marche dans la sainteté. On devait aussi nettoyer complètement les maisons de toute trace de levain.

     

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    Les Israélites ont franchi à sec la Mer Rouge pendant la Fête des Pains sans Levain.

    Chaque pain sans levain (matzah) était strié (comme flagellé) et percé. La coutume Juive était d’enterrer, de cacher et de "ressusciter" le second des trois pains sans levain (celui du milieu, qui représente Jésus mis au tombeau).

    Cela représente l’ensevelissement de Jésus-Christ. Son corps pur et sans péché fut flagellé et percé sur la croix, et Il mourut par amour pour nous. Jésus est aussi le "Pain de Vie" descendu du Ciel. Il est né à Bethlehem, qui signifie en Hébreu "la maison du pain."

    Jésus a été enseveli le soir de Sa mort, c’est-à-dire, au début du lendemain du jour de la Pâque. Si le jour de la Pâque était un mercredi (ce jour avait commencé dès le mardi soir), le quinzième jour du mois de Nisan commençait dès le mercredi soir. C’était un jour chômé, comme un shabbat.

    Cette Fête représente aussi notre ensevelissement en Jésus-Christ.

     

    3. Yom Habikkurim (Fête des Prémices – Lévitique 23 : 11). Cette Fête s’observait le premier jour de la semaine suivant le shabbat de la Pâque, c’est-à-dire le premier shabbat suivant le jour de la Pâque (Remarque: le jour du balancement de la gerbe (Prémices) se déroule le dimanche qui tombe pendant les Pains azymes et non le lendemain de la Pâque, comme le judaïsme rabbinique le fait.Ce rituel, qui symbolise la résurrection du Seigneur, a lieu le lendemain du shabbat hebdomadaire et non le lendemain du shabbat annuel du 1er jour des Pains azymes et en comptant 7 semaines à partir de ce jour (dimanche) du balancement de la gerbe, on arrive naturellement à la fête de Pentecôte (Shavouot) qui a toujours lieu un dimanche.)

    . Ce jour-là, les prémices des productions du pays étaient présentées à l’Eternel, pour Le remercier de la fertilité qu’Il accordait à Son peuple.

     

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    Jésus est ressuscité le premier jour de la semaine. Il est les "Prémices" de la résurrection et de ceux qui vont ressusciter. La Fête des Pains sans Levain ayant commencé dès le mercredi soir, le jeudi étant chômé (premier jour de la Fête des Pains sans Levain), le vendredi était un jour normal de travail. C’est alors que les femmes ont dû préparer les aromates pour embaumer le corps de Jésus. Mais le lendemain étant un shabbat ordinaire (le premier shabbat après la Pâque), elles se sont reposées, pour aller au tombeau le matin du premier jour de la semaine. Mais ce premier jour de la semaine (le dimanche) avait commencé la veille au soir, le samedi (shabbat). Jésus était déjà ressuscité le "matin du premier jour de la semaine," le dimanche au matin, quand les femmes sont venues au tombeau. Pour respecter les "trois jours et les trois nuits" au tombeau, le Seigneur a donc dû ressusciter dès le samedi en fin de journée, avant la nuit. Les Evangiles disent : "Jésus, étant ressuscité le matin du premier jour de la semaine" (Marc 16 : 9). Cela ne signifie pas qu’Il est effectivement ressuscité le matin du premier jour de la semaine. Mais cela peut aussi signifier qu’Il était déjà ressuscité le matin du premier jour de la semaine, quand les femmes sont arrivées au tombeau.

    Cette Fête des Prémices représente aussi notre résurrection en Jésus-Christ.

    Ces trois premières Fêtes du Printemps représentent les trois étapes de notre salut en Jésus-Christ : notre mort, notre ensevelissement et notre résurrection en Christ. Ces trois étapes sont aussi représentées par le baptême d’eau par immersion : nous sommes "plongés" dans la mort de Christ, "ensevelis" sous l’eau, et "ressuscités" à une vie nouvelle par notre sortie de l’eau. Le vrai baptême chrétien ne peut donc être pratiqué que par une immersion complète, seule à même de représenter correctement et complètement notre mort, notre ensevelissement et notre résurrection en Jésus-Christ.

     

    4. Shavu’ot (Fête de Pentecôte – Lévitique 23 : 16). Cette Fête s’observait "le lendemain du septième shabbat après le sabbat qui suit la Fête des Prémices", soit le cinquantième jour suivant.

    C’est aussi le jour où les Juifs commémorent le don de la Torah à Moïse par l’Eternel, sur le Mont Sinaï.

     

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    On peut aussi remarquer que le jour où Moïse descendit du Mont Sinaï avec les Tables de la Loi, "environ trois mille hommes" moururent à cause de l’idolâtrie du peuple (Exode 32 : 28). En revanche, le jour de la Pentecôte, à la suite de la prédication de Pierre, "environ trois mille âmes" se convertirent à Christ (Actes 2 : 41)  !

    C’est le jour même de la Fête de Pentecôte que le Saint-Esprit fut répandu sur l’Eglise, marquant le début du temps de la grâce, qui doit durer jusqu’au retour du Seigneur.

    Deux pains tressés, cuits avec du levain, devaient être offerts lors de cette Fête. Ils représentent l’Eglise, composée de Juifs et de Gentils unis dans le même Corps.

    Les quatre premières Fêtes du Printemps se sont déjà accomplies dans la vie et le ministère du Seigneur Jésus. Les trois Fêtes de l’automne sont encore à venir, dans leur accomplissement prophétique pour Christ et pour l’Eglise. Nous sommes donc toujours sous le régime de Shavu’ot, de Pentecôte, ou encore du Saint-Esprit.

     

    Les Fêtes de l’automne :

    Trois Fêtes se célébraient en automne, en septembre-octobre :

    5. Yom Teru’ah (Fête des Trompettes – Lévitique 23 : 24). Cette Fête devait se pratiquer le premier jour du mois de Tishri, en septembre. Elle dure un jour en Israël, et deux jours en dehors d’Israël. L’intervalle d’environ quatre mois entre la Fête de Pentecôte et la Fête des Trompettes représente le temps de l’Eglise. C’est aussi un temps de sécheresse en Israël, mais aussi le temps du mûrissement des récoltes et de la moisson.

     

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    Le dernier mois de l’été est le mois d’Elul. Au cours de ce mois, chaque jour, retentissait un seul son du shofar (la corne de bélier), pour préparer le peuple aux trois prochaines fêtes de l’automne.

    Finalement, le premier jour du mois de Tishri, qui marquait le début de la Fête des Trompettes, le shofar retentissait 100 fois, pour rassembler les fidèles et les convoquer au Temple. Tous devaient alors abandonner les travaux de la moisson pour se rendre à la Fête. 

    Ce jour marque aussi le premier jour de l’année civile Juive, ou Rosh Hashanah.

    Dans 1 Corinthiens 15 : 51-53, Paul parle du son de la trompette de Dieu, qui doit réveiller les morts et marquer le jour de l’Enlèvement de l’Eglise. Les Chrétiens cesseront alors de moissonner pour partir à la rencontre du Seigneur dans les airs.

    Ce jour symbolise donc la résurrection de tous ceux qui sont "morts en Christ," et le "changement en un clin d’œil" de tous ceux qui seront vivants, le jour de l’Enlèvement.

    Selon la tradition Juive, ce jour sera celui du Jour du Jugement, où le Créateur jugera tous les habitants de la terre. Ce jour était aussi considéré comme étant celui du commencement de la création.

    Le fait que les quatre premières étapes prophétiques du ministère de Jésus correspondent aux quatre premières Fêtes du printemps nous permet de penser que les trois dernières étapes prophétiques de Son ministère seront aussi inaugurées les jours mêmes des trois dernières Fêtes de l’automne.

    L’Enlèvement de l’Eglise, qui est aussi le jour de la résurrection des morts en Christ, doit donc normalement se produire lors d’une prochaine Fête des Trompettes.

     

    6. Yom Kippur (Fête des Expiations – Lévitique 23 : 27). Cette Fête devait se célébrer le dixième jour du mois de Tishri. C’est le jour le plus saint de l’année religieuse du peuple Juif. Ce jour était précédé, juste après la Fête des Trompettes, des "jours redoutables." C’étaient des jours de préparation au Yom Kippur qui allait suivre, des jours d’examen de soi, de repentance, de réconciliation et de remise en ordre devant l’Eternel. Les Juifs devaient "affliger leur âme" le jour du Yom Kippur. Ils ne devaient rien manger ni boire pendant 24 heures.

     

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    C’est le jour du Yom Kippur, une seule fois par an, que le Souverain Sacrificateur avait le droit d’entrer dans le Lieu Très Saint, avec le sang des agneaux et des boucs, pour faire l’expiation pour lui-même et pour le peuple. C’est à cette unique occasion annuelle que le Souverain Sacrificateur pouvait aussi prononcer, dans le Saint des Saints, le nom imprononçable de l’Eternel.

    Le Souverain Sacrificateur commençait par sacrifier un taureau pour lui-même. Puis il sacrifiait un bouc "pour le Seigneur," et entrait dans le Lieu Très Saint pour répandre le sang sur le propitiatoire. Il plaçait ensuite les péchés du peuple sur un autre bouc, le "bouc pour Azazel," qui était ensuite chassé dans le désert (Lévitique 16). Azazel représente Satan, qui sera lié pour mille ans pendant le Millénium.

    Cette Fête symbolisait donc la réconciliation des Israélites avec Dieu.

    Cette Fête s’accomplira prophétiquement lors du retour du Seigneur Jésus sur la terre, au moment de la bataille d’Harmaguédon. Ce retour se fera le jour du Yom Kippur de la septième année après la Fête des Trompettes de l’année de l’Enlèvement de l’Eglise. 

    Ce jour sera celui de la reconnaissance de Jésus-Christ comme leur Messie par tous les survivants du peuple Juif. Ce sera le jour de la conversion générale d’Israël à Jésus-Christ.

     

    7. Sukkot (Fête des Tabernacles – Lévitique 23 : 34). Cette Fête commençait le quinzième jour du mois de Tishri, et durait sept jours. Le 22e jour, ou huitième jour, était aussi un jour saint distinct, et constituait le "dernier grand jour de la Fête." 

    De même que la Pâque inaugurait les Fêtes du printemps, et était suivie par les sept jours de la Fête des Pains sans Levain, ainsi, la dernière des Fêtes de l’Eternel comprenait les sept jours de la Fête des Tabernacles, suivis d’un huitième jour distinct, le "dernier grand jour de la Fête." Ce grand jour final marque la consommation finale des Fêtes de l’Eternel et du cycle religieux.

     

    Les Fêtes de l'Eternel Henri Viaud-Murat

     

    Elle célèbre le fait que Dieu avait pourvu des abris pour Son peuple pendant la traversée du désert, après la sortie d’Egypte. 

    Cette Fête aura son plein accomplissement prophétique quand le Seigneur reviendra avec Son Eglise "tabernacler," habiter au milieu de Son peuple, après Son retour sur la terre, pour y instaurer Son Royaume millénaire. Son grand Tabernacle sera situé à Jérusalem, qui sera le centre du monde futur. Chaque année, les nations du monde entier monteront à Jérusalem pour la Fête des Tabernacles (Zacharie 14 : 16-17).

    Cette Fête des Tabernacles de la septième année après le début de la Tribulation marquera donc l’inauguration officielle du Millénium.

    Le "dernier grand jour de la Fête," le huitième jour, représente ce qui se passera à la fin du Millénium, au moment du Jugement dernier, celui du "Grand Trône Blanc," qui précède la nouvelle création, le nouveau ciel et la nouvelle terre, sur laquelle descendra la Nouvelle Jérusalem. La mort ne sera plus. L’histoire de cette terre se terminera, et l’éternité avec le Seigneur commencera.

    Ainsi, nous pouvons constater que ce cycle des sept Fêtes de l’Eternel données au peuple Juif revêt une grande signification prophétique pour l’Eglise du Seigneur Jésus, comme pour le monde entier. Il ne s’agit pas, pour l’Eglise de la Nouvelle Alliance, de revenir à la pratique obligatoire de ces Fêtes. Les Chrétiens qui désirent les célébrer peuvent le faire librement, en tant que commémoration. Mais il ne s’agit plus d’une ordonnance légale, comme sous la Loi de Moïse.

    Il s’agit toutefois, pour l’Eglise, de comprendre le sens spirituel de ces Fêtes, et de les observer d’une manière spirituelle. Chaque Fête révélait l’un des aspects essentiels du caractère de Dieu, et préfigurait un aspect capital de la vie et du ministère du Messie, Jésus-Christ notre Seigneur.

    La grande leçon à retirer de ces Fêtes, c’est que nous devons toujours être prêts, en permanence, à servir et à célébrer le Seigneur, en L’aimant de tout notre cœur, de toutes nos pensées, de toute notre âme et de toutes nos forces.

    Il ne s’agit pas de surveiller de loin d’arrivée de la prochaine Fête des Trompettes, pour nous préparer à la sauvette ! Nous n’en aurions certainement pas le temps. Il s’agit de mener une vie qui soit en permanence à la gloire du Seigneur, comme si chaque jour de notre vie devait être celui de l’Enlèvement ! Chaque jour doit être pour nous un grand jour de Fête pour l’Eternel ! Alors, quand la dernière trompette retentira, nous bénéficierons pleinement de la grâce de Dieu pour partir à la rencontre du Seigneur. Amen !

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  • Commentaires

    1
    Jeudi 6 Mars 2014 à 09:45

    merci  Michel  pour ta publication je le fais paraître sur mon blog.

    2
    Jacquy Mengal
    Jeudi 6 Mars 2014 à 11:06

    Ah, ces évangéliques ! Quand arriveront-ils à comprendre que toutes ces fêtes bibliques, dont ils parlent si souvent, doivent être aussi célébrées par les Chrétiens ? Mais, ils en parlent, c'est déjà ça !

    Si je peux me permettre une remarque: le jour du balancement de la gerbe (Prémices) se déroule le dimanche qui tombe pendant les Pains azymes et non le lendemain de la Pâque, comme le judaïsme rabbinique le fait.

    Ce rituel, qui symbolise la résurrection du Seigneur, a lieu le lendemain du shabbat hebdomadaire et non le lendemain du shabbat annuel du 1er jour des Pains azymes.

    Et en comptant 7 semaines à partir de ce jour (dimanche) du balancement de la gerbe, on arrive naturellement à la fête de Pentecôte (Shavouot) qui a toujours lieu un dimanche.

    Autre remarque: l'année religieuse ne commence pas avec la Pâque, mais bien 14 jours avant, avec la nouvelle lune qui suit l'équinoxe du printemps.

    Et enfin, faut-il rappeler que personne ne sait quand reviendra le Seigneur ! Donc, dire que l'enlèvement aura lieu forcément lors d'une fête des Trompettes et dire que le Seigneur reviendra un jour de Yom Kippour est une affirmation abusive, non fondée et une interprétation humaine !

    Cet homme reconnaît cependant que le Seigneur a bien été crucifié un mercredi. Enfin, voilà des évangéliques qui commencent à croire que la Bible dit vrai. Il ne faut jamais désespérer !

    Salutations

    Jacquy

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    3
    Vendredi 7 Mars 2014 à 08:37

    Salut Jacquy,

    Merci pour tes remarques.

    Je les ai intégrées dans l'article.

    Salutations

    Caleb

    4
    Jacquy Mengal
    Vendredi 7 Mars 2014 à 09:34

    Bonjour Caleb,

    Comment vas ? Tu sais, je ne veux pas "jouer les troubles fêtes" en faisant la critique de certains articles, mais tu comprends bien que je suis convaincu de ce que je défends.

    Ceci étant, je ne critique pas les personnes pour elles-mêmes, qui sont certainement de braves gens, eux-aussi convaincus et sincères dans leur démarche. Je pense tout simplement que le monde entier a été séduit et trompé par le Malin et qu'il est difficile de se remettre en question et de changer de point de vue, surtout quand il faut le faire après de longues années et/ou en perdant un job ou une crédibilité.

    (C'est souvent le cas pour les pasteurs !).

    Je dois te prévenir que les liens que tu mets ne fonctionnent pas toujours en cliquant dessus.

    Bien à toi et bon shabbat

    Jacquy

     

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