LÉVITIQUE 23
Le livre du Lévitique nous relate les sept fêtes d’Israël, plus le « shabbat » qui est considéré comme étant la plus grande des fêtes (voir Lévitique 23.3-4).
Le texte qui suit se trouve au chapitre 23, versets 5 à 8 :
Le premier mois, le quatorzième jour du mois, entre les deux soirs, ce sera la Pâque de l’Éternel. Et le quinzième jour de ce mois, ce sera la fête des pains sans levain en l’honneur de l’Éternel ; vous mangerez pendant sept jours des pains sans levain. Le premier jour, vous aurez une sainte convocation : vous ne ferez aucune œuvre servile. Vous offrirez à l’Éternel, pendant sept jours, des sacrifices consumés par le feu. Le septième jour, il y aura une sainte convocation : vous ne ferez aucune œuvre servile.
Dans ce texte, nous voyons les deux premières fêtes réunies ; elles vont ensemble.
LA PÂQUE
Vous connaissez tous sans doute l’histoire de la première Pâque dans Exode 12 lorsque Dieu a ordonné à Moïse et à la nation d’Israël de tuer un agneau pour chaque maison et de mettre le sang de l’agneau sur les linteaux et les poteaux des portes, de rester à l’intérieur de leurs maisons jusqu’au matin, s’ils ne voulaient pas que leurs premiers-nés meurent. C’est à cette condition qu’ils seraient protégés par le sang. Nous, les croyants en Jésus-Christ, que célébrons-nous chaque année à notre Pâque (rien à voir avec les œufs et les lapins en chocolat des « Joyeuses Pâques ») ? Nous commémorons la mort, mais également la résurrection de notre Seigneur Jésus-Christ.
Jean-Baptiste l’avait bien dit : Voici l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde (Jean 1.28-29).
Jésus, Yeshoua, est notre Pâque, notre Sauveur. Il est venu non pour couvrir notre péché, comme c’était le cas des sacrifices d’animaux, mais pour l’ôter.
Cette fête est célébrée en même temps que la Pâque. Cette première fête, celle dela Pâque, signifie prophétiquement que Jésus est le Messie immolé pour nos péchés.
LES PAINS SANS LEVAIN
La deuxième, celle des pains sans levain, nous Le montre sans péché. Le levain représente toujours le péché dans les Saintes Écritures. Jésus était sans péché. Dans l’enseignement juif, le levain représente également le mal.
Voyons ce que dit le texte tiré de la première épître aux Corinthiens, chapitre 5, versets 6 à 8 :
C’est bien à tort que vous vous glorifiez. Ne savez-vous pas qu’un peu de levain fait lever toute la pâte ? Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé. Célébrons donc la fête, non avec du vieux levain, non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la pureté et de la vérité.
Il y a également une application pour le croyant en Jésus : le sang de Jésus ôte ou enlève notre péché et le pain sans levain nous enseigne que nous sommes mis à part pour Jésus-Christ ; nos péchés sont pardonnés. Oh, que nous sommes heureux d’avoir eu part au pardon des péchés ! Bien que notre nature pécheresse ou notre inclination à pécher se manifeste de temps à autre, le sang du Seigneur Jésus-Christ nous purifie de tout péché.
Dans le salut, il y a trois aspects. Lorsque nous avons mis notre foi dans le Seigneur Jésus-Christ, nous avons été sauvés, c’est-à-dire que nos péchés sont pardonnés, passés, présents et futurs. Cela s’appelle la justification. Maintenant que nous sommes sauvés, nous travaillons à notre salut. Cela s’appelle la sanctification. Un jour, lorsque nous passerons dans l’autre monde et que nous serons en présence de notre Seigneur Jésus-Christ, nous serons sauvés de la présence du péché. Cela s’appelle la glorification.
Ceci nous amène à la troisième fête dans Lévitique 23.9-11.
LA GERBE (OU LES PREMIERS FRUITS)
L’Éternel parla à Moïse, et dit : Parle aux enfants d’Israël et tu leur diras : Quand vous serez entrés dans le pays que je vous donne et que vous y ferez la moisson, vous apporterez au sacrificateur une gerbe, prémices de votre moisson. Il agitera de côté et d’autre la gerbe devant l’Éternel, afin qu’elle soit agréée : le sacrificateur l’agitera de côté et d’autre, le lendemain du sabbat.
Cette troisième fête est la prophétie concernant la résurrection du Messie, de notre Seigneur Jésus-Christ. Il est mort ; Il est sans péché ; Il est ressuscité. La gerbe qui sort de terre symbolise la sortie du tombeau.
Dans la première épître aux Corinthiens, chapitre 15.20-23, nous lisons :
Mais maintenant, Christ est ressuscité des morts, il est les prémices de ceux qui sont morts. Car, puisque la mort est venue par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ, mais chacun en son rang, Christ comme prémices, puis ceux qui appartiennent à Christ, lors de son avènement.
Jésus est ressuscité ; nous qui croyons en Jésus, nous serons également ressuscités (voir 1 Cor. 15.12-18). Après Sa résurrection, Jésus est resté sur terre 40 jours puis, 10 jours plus tard (ce qui fait 50 jours) le Saint-Esprit est descendu (Actes 2).
LE SABBAT
Ceci nous amène à la quatrième fête dans Lévitique 23.15-17.
Depuis le lendemain du sabbat, du jour où vous apporterez la gerbe pour être agitée de côté et d’autre, vous compterez sept semaines entières. Vous compterez cinquante jours jusqu’au lendemain du septième sabbat ; et vous ferez à l’Éternel une offrande nouvelle. Vous apporterez de vos demeures deux pains, pour qu’ils soient agités de côté et d’autre ; ils seront faits avec deux dixièmes de fleur de farine et cuits avec du levain : ce sont les prémices à l’Éternel.
En lisant ce passage, quatre choses doivent attirer notre attention :
– les 50 jours
– les deux pains
– le levain
– les prémices à l’Éternel
Les 50 jours : Après la résurrection, Jésus est resté 40 jours sur la terre et, 10 jours plus tard, le Saint-Esprit est descendu le jour de la fête de Shavuot (Pentecôte) pour faire naître à l’occasion de cette Pentecôte une nouvelle institution que nous appelons l’Église*, ou la fiancée du Messie ou du Christ. Le Saint-Esprit est descendu exactement 50 jours après la résurrection.
Les deux pains ont du levain et pourtant, dans la culture juive et dans les Écritures, le levain symbolise le péché. Nous pensons que ces deux pains représentent deux groupes de personnes ; les Israélites et les non-Israélites. L’Église a connu ses débuts avec le peuple israélite, mais elle a, à travers lui, atteint les non-Israélites. Ces deux pains ou deux groupes de personnes vont faire partie de cette nouvelle institution qui est l’Église*. La présence du levain nous indique que le péché fait encore partie de la réalité de cette institution ; elle n’est pas parfaite, pardonnée par le sang du Messie, certes, mais pas parfaite. Dieu nous rappelle que ce n’est pas par nos œuvres que nous sommes sauvés. Nous ne sommes pas meilleurs que la nation d’Israël, nous sommes sauvés par la grâce. D’ailleurs, le salut a toujours été obtenu par la grâce. Le psalmiste s’exclame : Délivre-moi de toutes mes transgressions… (Psaume 39.8a).
Ces quatre premières fêtes, qui ont lieu au printemps, ont été prophétiquement accomplies dans l’histoire de ce monde. De nos jours, c’est comme si nous en étions à « l’été » dans la chronologie des fêtes.
Il reste encore trois autres fêtes à considérer. Ce sont celles qui ont lieu en automne. Ces fêtes n’ont pas encore été accomplies prophétiquement mais nous les verrons s’accomplir dans le futur. Et c’est justement pourquoi nous les Chrétiens n’avons pas encore « copié », pour reprendre le terme de l’intervenant à la synagogue, ces fêtes de l’automne. En effet, l’épître aux Colossiens, chapitre 2 et versets 16, 17 nous dit :
Que personne ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d’une fête, d’une nouvelle lune, ou des sabbats : c’était l’ombre des choses à venir, mais la réalité est en Christ [Messie].
L’épître écrite aux Hébreux en parle également, au chapitre 10 et verset 1 :
En effet, la loi qui possède une ombre des biens à venir et non l’exacte représentation des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu’on offre perpétuellement, chaque année, amener les assistants à perfection.
LA FÊTE DES TROMPETTES (OU ROSH-HASHANA NOUVEL AN) (YOM TERUAH)
L’Éternel parla à Moïse, et dit : Parle aux enfants d’Israël, et dis : Le septième mois, le premier jour du mois, vous aurez un jour de repos, publié au son des trompettes, et une sainte convocation. Vous ne ferez aucune œuvre servile et vous offrirez à l’Éternel des sacrifices consumés par le feu. (Lévitique 23.23-25)
Cette fête est une belle fête ; c’est la cinquième fête! Une trompette (shofar) sert à avertir, prévenir, rappeler. La trompette peut casser les oreilles pour attirer notre attention. Je crois que le message prophétique de cette fête est de rappeler le peuple d’Israël dans sa totalité dans le pays que Dieu leur a donné. Aujourd’hui, seule une partie est retournée, mais un jour ils retourneront dans leur totalité (voir Ézéchiel 36 et Deutéronome 30). Je crois aussi que la fête des Trompettes annonce le rappel d’un autre groupe à rejoindre son Messie au ciel : la fiancée de Christ (Jean 14.1-3). C’est ce que nous appelons l’enlèvement de la fiancée (l’Église*) ; événement qui peut arriver à tout moment, de façon imminente. Nous aspirons à dire : « Maranatha, viens Seigneur Jésus ! ». Dans la première épître aux Thessaloniciens 4.16-18, il est écrit :
Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc les uns les autres par ces paroles.
« Consolez-vous par ces paroles » : nous avons besoin d’être consolés. Sans cet espoir, la vie n’a aucun sens. La fête des Trompettes : une trompette pour le retour des Israélites dans leur pays et une trompette pour l’enlèvement de la fiancée. Mais lorsque la fiancée (l’Église) montera vers le Seigneur, il y aura un temps de chaos sur la terre où l’anti-Christ viendra. C’est une époque connue sous le nom de « la Grande Tribulation » ou « la détresse de Jacob » (Jérémie 30 :7). Le livre de l’Apocalypse nous dit que vingt-cinq pour cent des hommes plus un tiers des hommes périront. C’est à ce moment-là que toutes les nations seront contre la petite nation d’Israël. À la fin de la tribulation, Israël se tournera vers son Messie (voir Zacharie 12.10).
Ceci nous amène à la sixième fête, celle de Yom Kippour ou du Grand Pardon dans Lévitique 23.26-27.
LE JOUR DU GRAND PARDON OU DES EXPIATIONS
L’Éternel parla à Moïse et dit : « Le dixième jour de ce septième mois, ce sera le jour des expiations : vous aurez une sainte convocation, vous humilierez vos âmes et vous offrirez à l’Éternel des sacrifices consumés par le feu. Vous ne ferez aucun ouvrage ce jour-là, car c’est le jour des expiations, où doit être faite pour vous l’expiation devant l’Éternel, votre Dieu. »
Chaque année dans les synagogues, le jour de Yom Kippour nos cœurs sont attristés pour nos amis israélites qui ne comprennent pas encore que l’expiation a été faite pour leurs péchés. Les mizvot (bonnes œuvres) ne suffisent pas : il faut recevoir ce pardon en Yeshoua (Jésus). Yom Kippour, c’est le jour de la repentance pour toute l’année écoulée. C’est un temps pour faire la paix avec Dieu. Mais un jour viendra où toute la nation d’Israël se tournera vers le Messie d’Israël pour recevoir ce kippour. Cela se passera à la fin de la tribulation quand ils prononceront cette phrase qui se trouve dans Matthieu 23.37-39 : Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !
Il est intéressant de constater que deux chapitres auparavant, au chapitre 21 de l’Évangile de Matthieu, lorsque Jésus entra dans Jérusalem, on lui dit : Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! On a intitulé ce passage “L’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem”. Si un Romain était passé par là ce jour-là et avait vu cette soi-disant entrée triomphale, il se serait très certainement moqué de l’appellation. Il aurait très bien pu dire : « Vous voulez voir une entrée triomphale ? Et bien vous auriez dû être à Rome lors de l’entrée triomphale de César quand il a conquisla Gaule. Elle a duré trois jours. » Celle de Jésus aurait été misérable en comparaison. Cette entrée de Jésus à Jérusalem ce jour-là n’avait rien de triomphal ; ce n’en était d’ailleurs pas le but. Le Seigneur, deux chapitres plus tard, pleure sur Jérusalem. Jésus aime Son peuple. Le peuple, la nation l’avaient rejeté en tant que Messie et il dit aux versets 38, 39 du chapitre 23 de Matthieu :
Voici, votre maison vous sera laissée déserte ; car, je vous le dis, vous ne me verrez plus désormais jusqu’à ce que vous disiez : « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! »
Jésus parle à Son peuple, au peuple d’Israël. En ce jour-là le peuple le reconnaîtra en tant que Messie. Et savez-vous ce qui se passera lorsqu’ils prononceront cette phrase ?
Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né. (Zacharie 12. 10)
Jésus est notre kippour, c’est-à-dire notre expiation pour les péchés. Il a pris sur Lui le châtiment pour nos péchés. À l’époque du Temple, le grand-prêtre apportait le sang d’un agneau sans tache pour expier les péchés du peuple. Jésus a expié nos péchés. Ésaïe en parle au chapitre 53 de son livre, aux versets 3 à 7 : … homme de douleur… frappé par Dieu et humilié… il était blessé pour nos péchés, meurtri pour nos iniquités…conduit comme un agneau qu’on amène à la boucherie…
Jésus a expié nos péchés …une fois pour toutes… tel que nous le dit l’Épître écrite par l’apôtre Paul (Saul) aux Hébreux (9.12-14) :
… Il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle. Car si le sang des taureaux et des boucs, et la cendre d’une vache répandue sur ceux qui sont souillés, sanctifient et procurent la pureté de la chair, combien plus le sang de Christ (Messie) qui, par l’Esprit éternel, s’est offert lui-même sans tache à Dieu, purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes, afin que vous serviez le Dieu vivant !
Il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés (Hébreux 10.4)
Il n’y a plus de Temple, donc plus moyen d’expier les péchés par le sang de l’agneau et le livre du Lévitique nous dit que sans sacrifice sanglant il n’y a pas de pardon des péchés (Lévitique 17.11). Car la vie de la chair est dans le sang. Je vous l’ai donné sur l’autel, afin qu’il serve d’expiation pour vos âmes.
LA FÊTE DES TABERNACLES, DES HUTTES OU DES TENTES (SUKKOT)
La septième et dernière fête aura été accomplie prophétiquement ; elle est décrite au chapitre 23 du Lévitique, versets 34 : Parle aux enfants d’Israël, et dis : Le quinzième jour de ce septième mois, ce sera la fête des tabernacles en l’honneur de l’Éternel, pendant sept jours.
Cette fête était connue comme étant « la fête ». Le roi Salomon a choisi cette fête pour inaugurer le temple de Jérusalem. Le prophète Zacharie, l’un des derniers prophètes, prophétise que la fête des Tabernacles deviendra aux temps messianiques un festival universel où toutes les nations viendront à Jérusalem pour se prosterner devant Dieu et pour célébrer « la fête ». Voir Zacharie 14 versets 1 à 20, et en particulier le verset 16 : Tous ceux qui resteront de toutes les nations venues contre Jérusalem monteront chaque année pour se prosterner devant le roi, l’Éternel des armée, et pour célébrer la fête des tabernacles…
Le mot « tabernacle » veut dire habiter, communier, vivre ensemble. Lorsque le peuple d’Israël aura reconnu Jésus en tant que Messie d’Israël au jour de Yom Kippour, le Messie reviendra avec sa fiancée afin d’habiter parmi Son peuple Israël. Voir Zacharie 14.3-9 et Apocalypse 19.11-16. Cette entrée sera vraiment triomphale ! Oui, ce sera la vraie entrée triomphale de Jésus. Quel jour formidable ce jour sera ! Nous ne pouvons que dire : « Maranatha, Viens Seigneur Jésus » !
Dans le livre de la Genèse, il est écrit au chapitre 12, verset 3 cet avertissement : Je bénirai ceux qui te béniront et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi. Les hommes de la terre feraient bien d’y prêter attention de nos jours !
Nous pouvons donc voir dans ce chapitre du Lévitique tout le plan de la rédemption pour Israël et pour les nations ; la naissance de la fiancée (Église*) du Messie ; c’est-à-dire les croyants dans Yeshoua Ha Machiakh (Jésus le Messie) ; le retour total du peuple d’Israël dans son pays ; l’enlèvement de la fiancée du Messie au ciel (Jérémie 14.1-3) ; la nation d’Israël reconnaissant le vrai Messie ; le retour du Messie, le Seigneur Jésus-Christ (nom qui signifie Sauveur-Messie), lequel reviendra pour Son peuple Israël (Zacharie 12 à 14). Toutes ces promesses se sont accomplies ou doivent encore s’accomplir en Jésus, le Messie d’Israël.
Tout un programme, n’est-ce pas ? Voila donc pourquoi nous les Chrétiens célébrons les fêtes du printemps comme étant accomplies et nous célébrerons les fêtes de l’automne lorsque le Messie reviendra ! Maranatha, reviens Seigneur Jésus ! (Note de Caleb: les fêtes d'automnes sont à célébrer toujours à l'heure actuelle: elles n'ont jamais été suspendues)
*Il est vrai qu’il y a aujourd’hui une vraie confusion avec le nom Église, qui veut vraiment dire une assemblée de croyants en Jésus. Au début, tous les croyants en Jésus étaient Israélites et plus tard les non-Israélites se sont joints à eux. Il faut néanmoins distinguer la vérité de l’erreur.